Tout au long de leur vie, les femmes et les hommes assurent leur intégration dans la vie sociale, en particulier par l'exercice des responsabilités individuelles et collectives. Pendant l’enfance et l’adolescence, les jeunes découvrent le monde et les instruments qui permette de le connaître mieux, d'y jouer un rôle et d'y développer des activités ; il ne s'agit pas seulement de grandir, mais de faire sa place et de conquérir une reconnaissance sociale. Ils ont aussi à définir leur position et le rôle dans les échanges intergénérationnels.
Le temps de la vie dite adulte consacré « prioritairement » à assumer les rôles professionnelle et familiaux est largement dominé par le couple « boulot – famille ». Peu à peu s'affirment les enjeux de la formation continue souvent liés aux différentes contraintes et modalités de la mobilité professionnelle. De décennies en décennie, diverses formes de discrimination liée à l’âge peuvent apparaître ; elles peuvent s'exprimer sous forme d'injonction lourde en termes de performance et de motivation, elles peuvent aussi représenter des menaces pour la santé et la qualité des relations familiales et sociales.
L’âge de la retraite, définitive ou partielle, commence généralement par un saut qualitatif considérable : à la fois la fin de l'activité professionnelle structurée et le début d'une période de plus en plus longue faite de temps libéré, d'incertitude et d'activités à inventer, en tout cas à choisir. Souvent, la nécessité ou la pression sont fortes pour « inviter » ces jeunes retraités a apporté des contributions sous des formes diverses, en assumant différents types de tâches et de fonction (travaux domestiques, bénévolat, participation à des actions communautaire, activités familiales ou loisirs) ou en combinant diverses activités, en fonction de ses moyens. Des programmes motivants permettant aux personnes âgées de s’impliquer dans leur communauté, peuvent considérablement améliorer leur qualité de vie et celle des bénéficiaires des services. Certaines politiques destinées au « troisième âge » et des institutions favorisent la transition vers ce que l’on nomme le « quatrième âge », par exemple en matière de logement et de transport.
Au « quatrième âge », les objectifs se concentrent sur le soutien à la participation et à l’autonomie maximales, quelles que soient la condition physique et l’état psychique. Des initiatives se développent pour allez au-delà des soins communautaires et de l’offre de services de soutien passifs en prenant des mesures susceptibles de l’autonomie des personnes âgées et des membres de leur famille qui s’occupent d’elles. Cette approche engendre une mutation culturelle au sein des services de santé et des services sociaux dont un aspect important consistera à supprimer les barrières dressées entre la santé et la protection sociale et à assurer des services les plus homogènes et coordonnées possibles. La technologie joue un rôle important en sécurisant les personnes les plus vulnérables, en maintenant le contact entre les aidants actifs et les membres de leur famille plus âgés et en garantissant la rentabilité des services.
Le temps de la vie dite adulte consacré « prioritairement » à assumer les rôles professionnelle et familiaux est largement dominé par le couple « boulot – famille ». Peu à peu s'affirment les enjeux de la formation continue souvent liés aux différentes contraintes et modalités de la mobilité professionnelle. De décennies en décennie, diverses formes de discrimination liée à l’âge peuvent apparaître ; elles peuvent s'exprimer sous forme d'injonction lourde en termes de performance et de motivation, elles peuvent aussi représenter des menaces pour la santé et la qualité des relations familiales et sociales.
L’âge de la retraite, définitive ou partielle, commence généralement par un saut qualitatif considérable : à la fois la fin de l'activité professionnelle structurée et le début d'une période de plus en plus longue faite de temps libéré, d'incertitude et d'activités à inventer, en tout cas à choisir. Souvent, la nécessité ou la pression sont fortes pour « inviter » ces jeunes retraités a apporté des contributions sous des formes diverses, en assumant différents types de tâches et de fonction (travaux domestiques, bénévolat, participation à des actions communautaire, activités familiales ou loisirs) ou en combinant diverses activités, en fonction de ses moyens. Des programmes motivants permettant aux personnes âgées de s’impliquer dans leur communauté, peuvent considérablement améliorer leur qualité de vie et celle des bénéficiaires des services. Certaines politiques destinées au « troisième âge » et des institutions favorisent la transition vers ce que l’on nomme le « quatrième âge », par exemple en matière de logement et de transport.
Au « quatrième âge », les objectifs se concentrent sur le soutien à la participation et à l’autonomie maximales, quelles que soient la condition physique et l’état psychique. Des initiatives se développent pour allez au-delà des soins communautaires et de l’offre de services de soutien passifs en prenant des mesures susceptibles de l’autonomie des personnes âgées et des membres de leur famille qui s’occupent d’elles. Cette approche engendre une mutation culturelle au sein des services de santé et des services sociaux dont un aspect important consistera à supprimer les barrières dressées entre la santé et la protection sociale et à assurer des services les plus homogènes et coordonnées possibles. La technologie joue un rôle important en sécurisant les personnes les plus vulnérables, en maintenant le contact entre les aidants actifs et les membres de leur famille plus âgés et en garantissant la rentabilité des services.