Cette notion s'est imposée dans le cadre du développement et de la professionnalisation des soins de longue durée. Il s’agit des soins dispensés à long terme, de façon intermittente ou continue, aux personnes souffrant d’une maladie chronique, aux personnes âgées, aux victimes d’accidents ou aux individus affectés par d’autres infirmités de longue durée. La prise en charge peut avoir lieu au domicile de la personne ou dans des établissements médico-sociaux lorsque le traitement s’avère plus complexe.
Certaines structures sont spécialisées dans les soins de longue durée et prennent en charge les patients de façons globale : que ce soit du point de vue médical, sanitaire, récréatif ou même éducatif. L’assurance de base (LaMal) ne rembourse pas l’entièreté des soins de longue durée toutefois certaines assurances complémentaires prennent spécifiquement en charge se genre de pathologies. La continuité des soins est à la fois un critère de qualité et une stratégie de réduction des coûts de la santé, elles restent cependant une notion généralement mal définie et comporte plusieurs acceptions. Elle renvoie tour à tour à la nécessaire globalité de l’offre en soins (véritable continuum de la prévention aux soins curatifs et à la réhabilitation, ou alors offre couvrant tous les âges de la vie), à la coordination des activités des intervenants (professionnels ou organismes) impliqués dans les soins, ou encore à la disponibilité des soins 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.
La continuité des soins s'impose en particulier dans les soins et l’aide à domicile qui font appel à un ensemble de services, plus ou moins coordonnés entre eux selon l’époque et la région considérées. Ils comportent le plus souvent les soins infirmiers, les soins de base, l’aide au ménage et à la famille, ainsi que la distribution de repas à domicile. Ils sont parfois complétés par un service de biotélévigilance, par des prestations de mobilisation ou de réadaptation, par une assistance pour les démarches auprès du système de sécurité sociale ou encore, par un soutien psychiatrique de premier recours. Enfin, les services à domicile s’appuient sur d’autres institutions pour des prestations de décharge, telles que les courts séjours ou l’accueil temporaire en établissement, pour un jour, une nuit ou un week-end.
On attend surtout une solide continuité dans le cadre des soins palliatifs qui sont des soins actifs, complets à des personnes gravement malades et de tous âges. Médecine et soins palliatifs valorisent, dans le temps qui reste, la meilleure qualité de vie possible grâce au contrôle des symptômes, principalement de la douleur. Ces soins optent pour la vie, voient dans la mort un processus normal et donc ne hâtent ni ne retardent la fin. Pour l’équipe soignante, multidisciplinaire, la personne, prise en compte aux niveaux physique, psychologique, social, spirituel et relationnel forme un tout avec son entourage.
Certaines structures sont spécialisées dans les soins de longue durée et prennent en charge les patients de façons globale : que ce soit du point de vue médical, sanitaire, récréatif ou même éducatif. L’assurance de base (LaMal) ne rembourse pas l’entièreté des soins de longue durée toutefois certaines assurances complémentaires prennent spécifiquement en charge se genre de pathologies. La continuité des soins est à la fois un critère de qualité et une stratégie de réduction des coûts de la santé, elles restent cependant une notion généralement mal définie et comporte plusieurs acceptions. Elle renvoie tour à tour à la nécessaire globalité de l’offre en soins (véritable continuum de la prévention aux soins curatifs et à la réhabilitation, ou alors offre couvrant tous les âges de la vie), à la coordination des activités des intervenants (professionnels ou organismes) impliqués dans les soins, ou encore à la disponibilité des soins 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.
La continuité des soins s'impose en particulier dans les soins et l’aide à domicile qui font appel à un ensemble de services, plus ou moins coordonnés entre eux selon l’époque et la région considérées. Ils comportent le plus souvent les soins infirmiers, les soins de base, l’aide au ménage et à la famille, ainsi que la distribution de repas à domicile. Ils sont parfois complétés par un service de biotélévigilance, par des prestations de mobilisation ou de réadaptation, par une assistance pour les démarches auprès du système de sécurité sociale ou encore, par un soutien psychiatrique de premier recours. Enfin, les services à domicile s’appuient sur d’autres institutions pour des prestations de décharge, telles que les courts séjours ou l’accueil temporaire en établissement, pour un jour, une nuit ou un week-end.
On attend surtout une solide continuité dans le cadre des soins palliatifs qui sont des soins actifs, complets à des personnes gravement malades et de tous âges. Médecine et soins palliatifs valorisent, dans le temps qui reste, la meilleure qualité de vie possible grâce au contrôle des symptômes, principalement de la douleur. Ces soins optent pour la vie, voient dans la mort un processus normal et donc ne hâtent ni ne retardent la fin. Pour l’équipe soignante, multidisciplinaire, la personne, prise en compte aux niveaux physique, psychologique, social, spirituel et relationnel forme un tout avec son entourage.