ÉDITIONS SOCIALINFO
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Un demi-siècle de développement de l’action sociale. Un choix de textes qui témoignent de quelques événements marquants. Quelques débats dont l’acuité est encore au cœur de l’actualité.
Et aussi, dans tous ces textes, des pages qui semblent annoncer des événements que nous vivons aujourd’hui, des avertissements et des vœux qui n’ont pas été entendus. Et pendant ce demi-siècle, le monde a changé, ô combien ! |
Dans ce livre, Jean-Claude Borgeaud prend la parole. Il a 86 ans.
Les locataires d’un immeuble entier occupé par des octogénaires reçoivent une lettre de résiliation de leur bail. Ils entrent en résistance. La presse suit. Indignation ! Ils ont gain de cause. Avec élégance et une juste colère, Borgeaud nous propose une vaste réflexion sur le vieillissement. Il se documente avec soin et précision. Pas de langue de bois, mais le choix du dialogue et de l’action. Il ose. La démarche est audacieuse. Impressionnant ! |
L’enfant est accueilli avec des gerbes de propos bienveillants. Impatients, nous voulons ce qu’il y a de mieux pour son développement. On manifeste moins de zèle pour atténuer les trop dures conditions de travail des parents, des mères surtout. On reconnaît l’autonomie de l’enfant, sa liberté de jouer, d’apprendre, de construire comme ce ravissement de soi-même qui générera plus tard sa générosité.
De fait, l’environnement sculpte l’enfant. L’éducation relève alors d’une forme d’humanisme, présent dans tous les aspects de la vie. La pédagogie se définit comme une « recherche de l’adéquation entre les valeurs que nous défendons en éducation et les gestes qui doivent les transmettre ». Ce livre nous invite à suivre les suggestions de Raymonde Caffari. |
En Suisse, au cours du dernier siècle en particulier, de nombreuses initiatives ont vu le jour dans le domaine de la culture. Quantité d’entre elles relevaient du mécénat porté par divers acteurs économiques issus des secteurs de l’industrie, du commerce et de la banque. Grâce à eux, des collections prestigieuses et parfois mondialement reconnues ont été constituées et mises à la disposition du public.
D’Aarau à Zuoz, ces collections constituent actuellement une part notable de l’offre culturelle présente dans toutes les régions du pays. |
Entrer dans la société de longue vie
Jean-Pierre Fragnière (Ed.) 348 pages, Éd. Socialinfo, Lausanne, 2019, Fr. 29.- Oui. Nous sommes entrés dans la société de longue vie. Appelés à vivre deux décennies de plus que nos grands-parents, il nous appartient de donner un contenu à ces années qui ont une saveur de cadeaux. Nous avons des projets. Convenons que tout cela ne se fera pas tout seul.
Serons-nous en mesure de consolider la qualité des solidarités entre les générations ? Les initiatives et les propositions émergent de toute part. Reste à les accueillir, à les soutenir voire à les partager. Ce livre-recueil est le témoin du foisonnement des réflexions et des propositions qui nous sont offertes dans une perspective interdisciplinaire. |
L'Avancée en Grand-Âge. Automne de la vie
Bernard Bonvin OP 74 pages, Éd. Socialinfo, Lausanne, 2019, Fr. 23.- L’automne dernier, peu après mon quatre-vingt-cinquième anniversaire, porte d’entrée dans le grand-âge, nous avons été gratifiés d’un exceptionnel été de la Saint-Martin ; mais un mois plus tard, la nature se dépouillait de ses multiples splendeurs. Au même moment, des analyses médicales m’obligeaient à reprendre un traitement lourd ; un pas de côté par rapport à mes enthousiasmes ou mes déboires de l’heure m’a semblé bénéfique. Le rappel des feux rayonnants d’un riche automne m’invitait à ne pas me constituer par avance prisonnier souffreteux des bourrasques et coups de froid d’une saison qui s’avance inéluctablement vers l’hiver…
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Ce petit guide s’adresse à celui et celle qui désirent s’élancer à travers la Suisse à la conquête de vingt-cinq musées marquants, de qualité et d’importance indéniables. De Genève à Ascona, en passant par Bâle, Zurich et Davos, découvrez vingt-cinq musées, hôtes de trésors patiemment accumulés, dont ils incarnent désormais aussi bien les écrins prestigieux que les gardiens attentionnés.
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Très tôt, il est devenu un « homme politique », un élu qui a accédé aux plus hautes fonctions. Il a présidé le Conseil national. Surtout, nous connaissons Stéphane Rossini dans ses activités de professeur, de chercheur et d’expert. On retiendra son ferme et tenace engagement pour la justice et la solidarité. Il est devenu l’un des acteurs les plus affirmés sur la scène de la politique sociale suisse, particulièrement de la politique de la santé.
Ce livre constitue un témoignage riche, diversifié, solidement documenté de celui qui a choisi d’intituler l’un de ses livres : « Au nom de la solidarité » |
L’autre jour, elle nous répétait avec une ferme conviction :
« Ce qui me passionne, c’est de voir des personnes qui se mettent en marche, s’ouvrent, réfléchissent, créent, découvrent, inventent, trouvent des solutions. Et elles le font avec générosité. Elles dégustent la vie ! Pratiquer la recherche, enseigner, c’est sans doute créer les conditions qui rendent possibles ces savoureuses interactions, porteuses d’espoir dans un monde où tant de questions appellent des réponses solides, souvent dans l’urgence. » C’est le projet de ce livre qui invite à la découverte de la réflexion et de l’action d’Anne-Nelly Perret-Clermont. |
On raconte tant de choses sur la retraite. Le mot vous fouette. Il signe votre état actuel ; vous y êtes ou c’est votre proche horizon. Vous êtes sceptique, et sans doute un peu méfiant. C’est votre affaire et surtout votre droit. En fait, vous n’échapperez pas à cette nouvelle réalité qui s’offre à vous. Vingt à quarante ans de vie, dont la plus grande partie en relativement bonne santé. On n’a jamais vu ça ! Impossible d’aborder ce monde avec les instruments qui ont été déposés dans votre grille de lecture. Peaufinez vos projets et vivez bien.
Ce livre peut suggérer quelques idées. |
« Soif de connaître ». « Passion de la découverte ». « Pépinière de têtes bien faites ». « Universalité des savoirs ». Ces propos ont accompagné la création et le développement des universités. On peut y ajouter le choix d’une démarche humaniste et la volonté de servir le mieux-être des sociétés. L’université de Fribourg, comme bien d’autres, s’est inscrite dans ce projet. Mais… est-ce bien là ce qui se passe ? La volonté de servir les hommes ne s’est-elle pas émoussée pour faire place à un utilitarisme réducteur et, souvent, à une capitulation devant les diktats rampants des détenteurs de la puissance économique. Ce livre en débat. Il dessine des perspectives pour un combat qui s’annonce rude. Une seule arme, les hallebardes de l’esprit !
Avec des contributions de : François-Xavier Amherdt, Pascal Corminboeuf, Jacques de Coulon, Jean-Maurice Délèze, Jean-Pierre Fragnière, Jean-Jacques Friboulet, Christine von Garnier et Libero Zuppiroli. |
Faire face
Aujourd’hui, ici et maintenant, d’importants débats interpellent nos sociétés. Le pessimisme, la morosité, le repli, la peur, l’obscurantisme, sont trop souvent au rendez-vous et nourrissent les propos et l’action de celles et ceux qui feignent d’oublier qu’une société dotée d’un système de sécurité et d’action sociales solide est une société forte. Nous sommes invités à cheminer dans le parcours de vie et de réflexion d’H.-M. Hagmann, à suivre les fécondes traces ouvertes par la démographie. On y découvre des repères et des arguments qui peuvent nous aider à affronter les moments difficiles et à construire un avenir acceptable pour toutes les générations. |
Nous sommes tous d’accord. La famille est ce socle sur lequel se construisent nos vies, le creuset où se façonnent nos personnalités et l’un des fondements de toute vie sociale. Elle est un lieu que nous sommes appelés à construire et à développer. Elle est une source dont nous avons reçu l’essentiel. Elle est un champ d’exercice de notre responsabilité individuelle et collective. Elle est aussi une réalité complexe et multiforme. Elle connaît des transformations majeures. |
Un ouvrage rédigé à quatre mains en partant d’un journal de bord très précis établi par l’un des deux auteurs. Il raconte, sous une forme romancée, l’histoire de l’accompagnement d’une jeune fille confiée au SEIPA, dispositif novateur mis en place par le canton de Vaud, en Suisse Romande, visant à tenter de reconnecter des jeunes en très grandes difficultés avec les systèmes de prise en charge plus traditionnels. Cette petite structure, employant des éducateurs et éducatrices, définit de par sa mission un profil de collaborateurs particulier.
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C’est portés par une curiosité complice que nous accompagnons Jean-François Duval dans ses rencontres, dont certaines avec quelques grandes figures contemporaines. En filigrane revient cette question qui nous concerne tous : quel avenir pour l’Occident ? A l’affût devant cette passionnante mise en perspective, nous nous retrouvons à guetter la parole de Cioran qui nous promet quelques frissons, de Brigitte Bardot que nous attendons au tournant, de Michel Houellebecq en homo occidentalis désenchanté, de Jean Baudrillard dont la finesse d’analyse rend le monde plus transparent, des Américains Samuel Huntington et Francis Fukuyama, théoriciens du choc des civilisations et de la possible fin de l’espèce humaine, de George Steiner, Paul Ricœur, du Dalaï-Lama et maints autres…
C’est ainsi un regard sur plus de trois décennies de notre histoire qui nous est livré de manière très vivante, suscitant du même coup quantité d’interrogations cruciales pour notre futur. |
J.-F. Duval donne ici la fidèle relation de ses rencontres avec Elisabeth Kübler-Ross, pionnière de l’accompagnement des mourants, alors qu’elle s’apprêtait elle-même à mourir dans un coin perdu d’Arizona, à demi-paralysée par une hémorragie cérébrale, attendant la fin avec impatience et sérénité.
Tête-à-tête avec une femme remarquable. |
La solidarité humaine est un lien fraternel et une valeur sociale importante. Elle relie tous les hommes les uns aux autres. « Une société ne peut progresser en complexité que si elle progresse en solidarité » nous suggère Edgar Morin.
La solidarité inspire de très nombreuses pratiques à deux pas de chez nous, mais aussi dans des cercles beaucoup plus larges. Nous cherchons les mots pour exprimer sa richesse et sa diversité. Ce petit livre retient et dessine des termes qui donnent de la saveur à notre projet de vivre ensemble. |
Nous sommes appelés à vivre ensemble beaucoup plus longtemps. Quatre générations cohabitent et échangent : des enfants, des jeunes, des femmes, des hommes, des vieillards partagent leur position différente dans le parcours de vie. Comment ? Le projet ADRET présenté dans ces pages se construit sous nos yeux.
Une démarche collective, un engagement ferme et orienté vers le long terme, une volonté de bâtir pierre sur pierre un instrument au service d’une vie sociale la plus harmonieuse possible. D’heureuses promesses, une brassée de suggestions pour construire l’avenir proche. Ont participé à la rédaction de cet ouvrage : Maria Bernasconi, Laurent Beausoleil, Claude Dupanloup, Jean-Pierre Fragnière. |
Accueillons trois belles invitations ! Offrons-nous un voyage avec Gabriel Bender qui nous propose, en touriste ordinaire, des observations insolites et amusées.
Dégustons les étonnements de Martial Gottraux quand il croque de minuscules tranches de vie. En 20 lignes, il nous livre de savoureux petits romans policiers. Entrons aussi dans les émotions de Françoise Mirza qui partage des miettes de vie. Elle nous invite à relire nos souvenirs, souvent les plus secrets. |
À tout aphorisme, on peut généralement et tout aussi brillamment opposer son contraire. En somme, il tient du jeu plus que de la quête d’un sens ou d’une vérité. Rien d’étonnant donc s’il débouche si souvent sur le rire ou au moins le sourire. Autant que le rire selon Bergson, l’aphorisme, aussi définitif et profond qu’il feigne d’être, est le signe de notre incompréhension.
L’auteur insiste, ce n’est ni un plaidoyer ni un réquisitoire. S’il y a une intention, elle est plutôt dans la couleur donnée au propos et dans le ciselage des mots choisis pour le tenir. De la dérision, du désabusement iconoclaste, de l’humour décapant. Et l’espoir de divertir le lecteur. |
Nous allons parler de la mort. Pas uniquement de celle des autres, mais de la nôtre. Celle qui va advenir bientôt. Notre audace ne nous inquiète guère, nous ne craignons pas la sanction. De toute manière, elle s’apprête à nous faucher, nous ne voyons pas ce qui pourrait nous arriver de pire. Nous voilà donc deux complices, proches par les origines et la culture, pétris de différences majeures, réunis par la proximité de la mort, par ces pages que nous allons écrire ensemble. Toujours bien vivants, nous ne savons pas vraiment ce que nous allons raconter. Mais, pas d’excuse, notre témérité ne nous effraie pas. En attendant, le défi est de cultiver la bonne humeur pour bien vivre ensemble le temps qui vient.
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La culture, c’est la liberté ! Facile à dire quand on est arrivé, quand les livres, les couleurs, les bons mots et la musique fleurissent dans notre environnement. Pour celui qui est issu d’un milieu que l’on appelle pudiquement « populaire », la voie est étroite qui permet d’accéder à toutes ces merveilles et même, il faut le dire, à ces moments heureux. L’essai que nous propose Michel Vuille témoigne d’une aventure à la fois personnelle et collective qui s’est développée sur plus de 50 ans. Une information solide, des témoignages éclairants, des analyses stimulantes : c’est par la culture qu’il faut entrer dans la vie, c’est par elle que s’enrichit la qualité des solidarités entre les générations. |
On est curieux, ou casanier. On hume le monde, ou on serre ses œillères. Gérard Delaloye a beaucoup osé. Il a dégusté la bonne culture du collège de Saint-Maurice, pour s’en extraire et découvrir, à 20 ans, d’autres horizons littéraires, l’histoire, l’engagement politique au jour le jour, la mise en œuvre du projet marxiste, en Suisse et en Europe. Il a mouillé son maillot au Tessin, à Bâle, à Lausanne, à Genève. Journaliste, il s’engage dans l’aventure du Journal du Valais, dans celle de l’Hebdo, du Nouveau Quotidien et du Temps. On le lira aussi dans largeur.ch. Passionné d’histoire, il met en évidence l’aventure des Walser et il réécrit des segments entiers de l’histoire du Valais. Essayiste, il propose un éclairage original sur les offensives de Christophe Blocher et les hoquets de la démocratie helvétique. Pas de langue de bois. Une grande soif de vérité. Une œuvre stimulante et chaleureuse. |
Oui, ce sont 66 lieux qui attendent de vous étonner.
66 bijoux avec leurs paysages, leur charme, les trésors culturels qu’ils recèlent, la trace des peintres, des écrivains, des architectes et des artisans qui les ont façonnés. Invitez-vous à une autre manière d’explorer la Suisse, de découvrir ses quatre langues et ses cultures, des trains flâneurs, des hôtels conviviaux et chargés d’histoire, les compositions de Paul Klee, les sentiers de Friedrich Nietzsche, l’église d’Hérémence, la colline de Monte Verità et même le Milieu du monde, à Pompaples. Une envie de Suisse, une invitation au voyage, un festival de petits et grands enchantements, ce livre à la main.. |
Ce livre veut être un plaidoyer pour la convivialité, pour la paix et pour la solidarité. Une invitation à apprendre et à aimer tout au long de la vie, y compris sur les chemins du vieillissement. Katharina Ley a engagé ses compétences et sa riche expérience dans cette stimulante invitation à « vieillir autrement ». Elle montre que ces sujets complexes peuvent être présentés, analysés et communiqués d'une manière à la fois précise et chaleureuse. |
Lorsque nous sommes comblés de succès, les applaudissements fusent. Et c'est très bien. C'est souvent là que certains problèmes commencent. L'heureux allongement de la vie, les performances bienvenues de la médecine, les vastes horizons qu’ouvrent les conquêtes de la technique, tout cela nous place devant des choix majeurs. Impossible de nous dérober. Comment faire ? Et, surtout, comment faire pour bien faire ? |
Pierre Avvanzino, qui nous propose ce livre, est un pionnier et un témoin dans la lutte contre les différentes formes de maltraitance. Il a écouté, entendu, accompagné et soutenu les appels des victimes. Avec elles, il a construit des analyses, il a livré quelques tranches d'histoire, il a fait parler les archives, il s'est fait avocat de quelques-uns. Toujours, il s'est efforcé de respecter leur parole, et même leur langage. Il n'a pas craint la prise de distance critique qui permet de s'approcher de la vérité et d'asseoir la crédibilité. Ces pages nous invitent à découvrir la patiente persévérance d'un homme qui a puisé dans l'empathie avec les victimes la force de ne jamais abandonner une cause difficile. |
Veysonnaz-Chroniques
Jean-Maurice Délèze, Roland Lathion (Éds) 152 pages, Éd. Socialinfo, Lausanne, 2017, Fr. 24.- Ouvrez ce livre. Il vous invite à découvrir « ce parfait village sur la colline dont les feux, le soir, vus de la plaine, se confondent avec les étoiles », pour reprendre l'expression de l'écrivain Maurice Zermatten. Par petites touches, il vous fait pénétrer dans quelques moments marquants de son histoire. Il rappelle un passé encore présent dans beaucoup de mémoires. Il montre l'impressionnante évolution qui a marqué les 50 dernières années. Il évoque plusieurs dimensions de la vie sociale, de l'organisation des institutions locales et de la culture vivante. Et puis, quelques petites « histoires » nous invitent à sourire et à vivre de savoureux moments de détente. |
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Un livre de 146 pages présentant plusieurs thèmes associés à la société de longue vie et permettant de découvrir les nouvelles publications des Éditions Socialinfo. La société de longue vie est une gerbe de cadeaux, c'est aussi une brassée de responsabilités. Un monde inexploré, riche en surprises, le plus souvent accueillant. Mais il faudra s'y risquer sans carte précise. Heureusement, les études et les essais se multiplient ; ils sont disponibles, ils peuvent accompagner notre voyage. Ce catalogue réunit quelques propositions. |
Quand le joueur eut tout perdu
Roger Cuneo 144 pages, Éd. Socialinfo, Lausanne, 2016, Fr. 24.- Dans ce livre, Roger Cuneo transmet les témoignages de dix joueurs pris par le jeu.
Dix nouvelles poignantes qui permettent de comprendre les dangers encourus par les personnes atteintes par cette maladie, ainsi que les dommages occasionnés à leurs proches. Des pages riches d’émotions qui abordent un sujet délicat. Elles peuvent servir de signal d’alarme et soutenir les démarches de prévention. |
Miettes de vie
Martial Gottraux 144 pages, Éd. Socialinfo, Lausanne, 2016, Fr. 24.- La vie, en somme, c'est un peu comme un millefeuille dont nous mordons toutes les couches en même temps. Et puis cela fait tomber des miettes sur...le papier. Alors, ouvrez ce livre au hasard, lisez, revenez en arrière, laissez-vous surprendre, énervez-vous, souriez. Vous comprendrez peut-être aussi que parfois, l'exagération est en quelque sorte la loupe du sociologue. Déformation professionnelle oblige! Un fil invisible nous relie à ces miettes de vie qui, l'espace de quelques pas, nous parlent d'une communauté de destins.
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Bienvenue dans la société de longue vie
Jean-Pierre Fragnière
138 pages, Éd. À la carte, Sierre, 2016, Fr. 24.-
Jean-Pierre Fragnière
138 pages, Éd. À la carte, Sierre, 2016, Fr. 24.-
Un véritable cadeau, toutes ces années de vie supplémentaires que nous découvrons ou qui nous sont annoncées ! Il faut savoir y entrer, peut-être s’y préparer, dans tous les cas leur donner un contenu savoureux et diversifié.
Tout cela ne se fera pas par un coup de baguette magique, il nous appartient d’ouvrir la porte à nos choix, à nos vœux, à nos valeurs et, sans doute, à notre imagination. Nous ne le ferons pas chacun dans notre coin. Le partage, l’échange et la solidarité s’imposent comme les voies les plus fécondes.
Comment faire ? Ce livre ouvre quelques pistes simples, concrètes et sans doute praticables.
Tout cela ne se fera pas par un coup de baguette magique, il nous appartient d’ouvrir la porte à nos choix, à nos vœux, à nos valeurs et, sans doute, à notre imagination. Nous ne le ferons pas chacun dans notre coin. Le partage, l’échange et la solidarité s’imposent comme les voies les plus fécondes.
Comment faire ? Ce livre ouvre quelques pistes simples, concrètes et sans doute praticables.
Dictionnaire de la société de longue vie
Jean-Pierre Fragnière
188 pages, Éd. À la carte, Sierre, 2016, Fr. 29.-
Jean-Pierre Fragnière
188 pages, Éd. À la carte, Sierre, 2016, Fr. 29.-
Nous y sommes. Nous sommes entrés dans la société de longue vie.
Ce sont de nombreuses années conquises, en particulier au cours du dernier demi-siècle. Si l'horizon de chacun est prolongé, beaucoup d'autres transformations affectent nos parcours de vie.
La société de longue vie se construit avec nous.
Ce dictionnaire propose une palette de mots en usage aujourd'hui et dans ce monde en devenir. Il accompagne celles et ceux qui se préparent à bien vivre le temps qui vient.
Ce sont de nombreuses années conquises, en particulier au cours du dernier demi-siècle. Si l'horizon de chacun est prolongé, beaucoup d'autres transformations affectent nos parcours de vie.
La société de longue vie se construit avec nous.
Ce dictionnaire propose une palette de mots en usage aujourd'hui et dans ce monde en devenir. Il accompagne celles et ceux qui se préparent à bien vivre le temps qui vient.
Politiques pour une société de longue vie
Jean-Pierre Salamin (Ed.)
160 pages, Éd. À la carte, Sierre, 2016, Fr. 26.-
Jean-Pierre Salamin (Ed.)
160 pages, Éd. À la carte, Sierre, 2016, Fr. 26.-
La Fédération Valaisanne des Retraités (FVR) a entrepris une réflexion pour définir sa position relative à la société de longue vie dans laquelle la majorité des aînés va
« vivre ensemble longtemps ».
Le Parlement des Aînés, siégeant en novembre 2015, a voté une résolution demandant au Gouvernement de promouvoir un aménagement de la législation cantonale pour garantir les conditions d’accueil au vieillissement de la population et la réalisation d’une agréable collaboration entre toutes les générations.
Ce livre décrit la démarche de la FVR. Il doit susciter le débat permettant de passer à l’action, avec la participation du plus grand nombre de personnes nécessaires à l’élargissement de la législation valaisanne face au vieillissement de la population.
Ont collaboré à la rédaction de cet ouvrage : Juliane Bérard, Jean-Maurice Fournier, Jean-Pierre Fragnière, Hermann Fux, Jean-Pierre Salamin, Peter Summermatter, Peter Wyer
« vivre ensemble longtemps ».
Le Parlement des Aînés, siégeant en novembre 2015, a voté une résolution demandant au Gouvernement de promouvoir un aménagement de la législation cantonale pour garantir les conditions d’accueil au vieillissement de la population et la réalisation d’une agréable collaboration entre toutes les générations.
Ce livre décrit la démarche de la FVR. Il doit susciter le débat permettant de passer à l’action, avec la participation du plus grand nombre de personnes nécessaires à l’élargissement de la législation valaisanne face au vieillissement de la population.
Ont collaboré à la rédaction de cet ouvrage : Juliane Bérard, Jean-Maurice Fournier, Jean-Pierre Fragnière, Hermann Fux, Jean-Pierre Salamin, Peter Summermatter, Peter Wyer
Pratiques solidaires
99 mots pour dire la solidarité Jean-Pierre Fragnière 128 pages, Éd. À la carte, Sierre, 2015, Fr. 17.- Une société ne peut progresser en complexité que si elle progresse en solidarité " nous suggère Edgar Morin.
La solidarité humaine est un lien fraternel et une valeur sociale importante. Elle relie le destin de tous les hommes les uns aux autres. Elle inspire de très nombreuses pratiques à deux pas de chez nous mais aussi dans des cercles beaucoup plus larges. Nous cherchons les mots pour exprimer sa richesse et sa diversité. Ce petit livre retient et dessine 99 termes qui évoquent une facette de cette valeur majeure et des actions qu'elle inspire. |
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Vivre ensemble longtemps
dans et par la solidarité Oui, il s'agit de vivre ensemble longtemps ! À l'aube de ce XXIe siècle, nos longs parcours de vie dépassent largement les trois quarts de siècle et s'allongent heureusement et inexorablement. Là, coexistent des enfants, des jeunes et des moins jeunes, tous marqués par de fortes différences. Entre eux, les relations sont intenses et diversifiées à la fois. L'empathie et la solidarité cohabitent avec des moments d'incompréhension, voire de méfiance. Il nous incombe de façonner une nouvelle manière de vivre ensemble longtemps, en pratiquant l’échange, le partage et la solidarité. Nombreux sont les groupes et les personnes qui se sont engagés dans cette voie. Ils inventent, expérimentent et trouvent des satisfactions bienvenues. Généralement, ces initiatives débouchent sur un besoin, sur une exigence: l’élaboration d’une véritable politique des âges et des générations. Le chantier est ouvert. L’enjeu ? C’est la capacité d’une société à concevoir son développement à long terme. Il définit la responsabilité des générations présentes et tout particulièrement de celles et ceux qui, aujourd’hui, disposent d’une parcelle de pouvoir politique, devant les générations à venir qui ne manqueront pas, le moment venu, de juger leur action. |
Autonomies et solidarités
Le dernier siècle a été marqué par de multiples mouvements engagés dans la conquête des autonomies individuelles. Des droits propres ont été reconnus aux femmes, aux enfants, aux employés, aux malades, aux prisonniers, aux migrants, etc. Ils se sont consolidés dans les relations familiales, dans les rapports professionnels, dans les relations entre les individus et les instances publiques et administratives, bien sûr avec des hauts et trop de bas. Ainsi, l'autonomie individuelle a été considérablement renforcée et garantie par le droit ; de multiples pratiques ont bouleversé la vie quotidienne. Cependant, un individu, même bardé de droits propres et reconnus n’est pas un être isolé, jouissant seul de ses droits. L’autonomie n’as de sens et n’est viable que partagée. Autrement dit, la pratique des solidarités est la condition de l’existence des autonomies. Nos droits propres, patiemment conquis, n’ont pas de sens ni de consistance en dehors d’une société qui cultive et entretient la cohésion sociale. Pour réaliser un tel projet, la solidarité est l’instrument majeur. Faut-il redire ici que tout cela s’apprend, se discute, se communique et se partage ? C’est le projet de cette réunion de publications. Jean-Pierre Fragnière |
À celui qui frappe à la porte on ne demande pas : « qui es-tu ? ».
On lui dit : « Assieds-toi et dîne. » Proverbe Sibérien
On lui dit : « Assieds-toi et dîne. » Proverbe Sibérien