La notion de génération est utilisée dans trois contextes différents : a) pour la différenciation de l’ascendance et de la descendance dans les familles (génération généalogique), b) comme catégorie pédagogico-anthropologique, désignant le rapport entre une génération qui transmet et une génération qui acquiert (génération pédagogique), et c) pour la différenciation de groupes collectifs historiques ou sociaux ayant des orientations culturelles ou des intérêts communs du fait qu’ils ont grandi dans le même temps (génération historico-sociale). Une génération se constitue sans en avoir conscience. Peu à peu, elle prend forme et des caractéristiques spécifiques apparaissent. Au fil du temps, elle se différencie de la génération émergente.
On parle de contrat entre les générations pour évoquer un ensemble d'attitudes et d'actions qui organisent les relations entre plusieurs générations. Il ne s'agit pas d'une réalité totalement explicite, mais plutôt d'un dispositif qui permet une cohabitation harmonieuse et qui structure les solidarités nécessaires à la vie sociale. Ce que l’on appelle contrat entre générations ne constitue pas un contrat au sens juridique du terme.
La notion de « Contrat intergénérationnel » est fréquemment utilisée pour caractériser les mécanismes de répartition dans les systèmes d'assurance, surtout lorsque la génération active professionnellement subventionne, à travers ses cotisations, la génération qui est entrée dans l'âge de la retraite. Aujourd'hui, le débat est vif sur le contenu de ce contrat ainsi que sur les biens et services qui sont échangés ainsi que sur l'intensité de la réciprocité qui caractérise ces des échanges. La notion de contrat intergénérationnel renvoie habituellement à des formes de solidarité dans le domaine de l'assurance retraite, par exemple, de la population active vers les retraités ou en matière de transferts financiers des aînés vers les plus jeunes. Dans le monde du travail, cette notion fait référence à l'organisation d'un transfert d'expérience ou de compétence des aînés-les seniors-vers les plus jeunes -les juniors-, au travers d'expérimentations telle que le parrainage, le tutorat et les binômes seniors/juniors. Le développement et la promotion de relations structurées groupes d’âges se développe dans un éventail de domaines de plus en plus larges.
Certains distinguent des types de Contrat intergénérationnel. Le contrat intergénérationnel dit « ancien » fait référence au contrat public de solidarité collective concrétisé par l’assurance-vieillesse et survivants (AVS). Il a été élaboré et adopté sans participation significative des représentants de la génération des retraités. Il est par ailleurs limité à une contractualité comptable, financière, gérée par la collectivité publique. Il comporte une fonction d’autonomisation de la population âgée, qui a considérablement modifié les relations intergénérationnelles.
Le « nouveau » contrat intergénérationnel intègre des questions liées à la participation des retraités à la vie publique, à la vie sociale, par des activités d’utilité sociale. Il apparaît au moment où les retraités ont une espérance de vie en bonne santé qui s’est accrue, et où, parallèlement, le débat sur les finances publiques et la solidarité collective est aigu. Il renvoie aussi à la nécessité du partage des ressources entre vifs, sans attendre la transmission par héritage.
On parle de contrat entre les générations pour évoquer un ensemble d'attitudes et d'actions qui organisent les relations entre plusieurs générations. Il ne s'agit pas d'une réalité totalement explicite, mais plutôt d'un dispositif qui permet une cohabitation harmonieuse et qui structure les solidarités nécessaires à la vie sociale. Ce que l’on appelle contrat entre générations ne constitue pas un contrat au sens juridique du terme.
La notion de « Contrat intergénérationnel » est fréquemment utilisée pour caractériser les mécanismes de répartition dans les systèmes d'assurance, surtout lorsque la génération active professionnellement subventionne, à travers ses cotisations, la génération qui est entrée dans l'âge de la retraite. Aujourd'hui, le débat est vif sur le contenu de ce contrat ainsi que sur les biens et services qui sont échangés ainsi que sur l'intensité de la réciprocité qui caractérise ces des échanges. La notion de contrat intergénérationnel renvoie habituellement à des formes de solidarité dans le domaine de l'assurance retraite, par exemple, de la population active vers les retraités ou en matière de transferts financiers des aînés vers les plus jeunes. Dans le monde du travail, cette notion fait référence à l'organisation d'un transfert d'expérience ou de compétence des aînés-les seniors-vers les plus jeunes -les juniors-, au travers d'expérimentations telle que le parrainage, le tutorat et les binômes seniors/juniors. Le développement et la promotion de relations structurées groupes d’âges se développe dans un éventail de domaines de plus en plus larges.
Certains distinguent des types de Contrat intergénérationnel. Le contrat intergénérationnel dit « ancien » fait référence au contrat public de solidarité collective concrétisé par l’assurance-vieillesse et survivants (AVS). Il a été élaboré et adopté sans participation significative des représentants de la génération des retraités. Il est par ailleurs limité à une contractualité comptable, financière, gérée par la collectivité publique. Il comporte une fonction d’autonomisation de la population âgée, qui a considérablement modifié les relations intergénérationnelles.
Le « nouveau » contrat intergénérationnel intègre des questions liées à la participation des retraités à la vie publique, à la vie sociale, par des activités d’utilité sociale. Il apparaît au moment où les retraités ont une espérance de vie en bonne santé qui s’est accrue, et où, parallèlement, le débat sur les finances publiques et la solidarité collective est aigu. Il renvoie aussi à la nécessité du partage des ressources entre vifs, sans attendre la transmission par héritage.