Le savoir silencieux des générations
O. Taramarcaz
Éd. Socialinfo, Lausanne, 2006, 148 pages, CHF 26.-
Éd. Socialinfo, Lausanne, 2006, 148 pages, CHF 26.-
Quels rêves m’habitent? Le rêve c’est le chemin buissonnier, c’est le jardin de derrière. Il ne se traduit pas en aptitude monnayable ni par un rendement immédiat. Le rêve ressemble à un savoir silencieux, le langage des saveurs. Il invite à créer des environnements amicaux, des lieux où l’on se plaît à s’attarder parce que l’on s’y sent bienvenu. Nous sommes engagés dans une aventure inconnue. Dans cette aventure, nous pouvons créer des itinéraires personnels et interpersonnels, des itinerrances, nous permettant d'être au monde et de ne pas seulement y errer. Le savoir silencieux des générations c’est une correspondance avec un pas de danse, celui-là même dans lequel je me laisse déporter, décentrer, pour partager la musique de l’autre.
Nous sommes en quête d'une parole. Cette parole est liée au récit de vie. Le récit de vie n'est pas fragmenté, cloisonné. Il ne sépare pas l'identité plurielle qui nous caractérise. Lorsque nous cherchons à exprimer la vie qui nous habite, nous le faisons avec nos émotions, avec notre être intérieur. Alors, des odeurs émergent, des souvenirs anciens se manifestent. Dans un entrecroisement d’expériences et de savoirs. Le savoir silencieux des générations.
Nous sommes en quête d'une parole. Cette parole est liée au récit de vie. Le récit de vie n'est pas fragmenté, cloisonné. Il ne sépare pas l'identité plurielle qui nous caractérise. Lorsque nous cherchons à exprimer la vie qui nous habite, nous le faisons avec nos émotions, avec notre être intérieur. Alors, des odeurs émergent, des souvenirs anciens se manifestent. Dans un entrecroisement d’expériences et de savoirs. Le savoir silencieux des générations.